
©joeprat
L’accès à l’univers est éminent. C’est un module spécial, un engin qui nous embarque vers nos paysages intérieurs, dans l’univers, là où on ne pense plus, là où ça flotte, marquant le delta de l’existence. Ni début ni fin.
Qu’est-ce que je pense d’un début et d’une fin ? Il y a peut-être une bordure temporelle, une fracture de l’univers et de quoi d’autre ?
La conscience est si vaste. Observons, servons-nous en nous, ne nous gênons pas. Donnons-nous à nous-même, éclairons notre éveil, participons à notre propre existence. Je pense puis je lâche … je pense puis je lâche … je pense puis je lâche.
Naviguant dans ce flux agité de mal-être, sommes-nous le symptôme ou la maladie ?
La nature n’est pas faite pour vivre sans nature. Fabriquer un climat artificiel comme pour faire mieux que la nature, défiance puis déviance s’installe. L’illusion bien en place générant le symptomatique état de l’Être. Seule la conscience peut rendre à l’égaré son chemin, un instant, puis l’instinct, l’intuition, la pleine conscience.
Des cordes et des lignes, des lignes et des corps. Tout au long de notre vie, nous traçons un itinéraire.
Nous créons une courbe représentant une fréquence, une onde, une vibration.
À la fois unique et propre a chacun, mais aussi collective dans l’unité universelle.
Cette courbe est une conscience. Elle se dessine matérialisée et matérialisante sur ce vecteur terrien. Mais n’est-ce vraiment que ça la vie ? Cette question qui accapare la science moderne, à chercher dans le vouloir, à moléculer dans l’inconnu, vouloir vouloir vouloir … trouver à tout prix. L’Homme perdant sa vie à vouloir une réponse. Le pouvoir à tout prix. Bienvenu dans l’impasse.
Une voie existe pourtant, il suffit de nous tourner vers nous-même, en nous-même dans nos profondeurs, dans notre univers intérieur qui est l’univers tout entier.
Les réponses sont en nous. Nous sommes la réponse et nous sommes la question.
Nous sortons de la dualité érigée toujours plus par l’Homme contemporain dans sa quête matérielle, cette recherche d’estime, de reconnaissance, l’ego dominant.
Si l’existence est infinie, la vie en compose les vecteurs. Comment peut-on ignorer l’énergie de l’être, comment peut-on dissocier l’énergie de la matière, après tant de découvertes, tant de démonstrations, tant de témoignages, tant d’évidences.
La matérialité de l’être est-elle à ce point corrompu par la peur et le pouvoir ? Hélas oui. Niez cela reviendrait à affirmer l’ignorance.
Le déni de la faculté de médecine, le déni d’une partie du corps médical, le déni du ministère de la santé, le déni de l’industrie … au nom de la rentabilité et de l’impression de la connaissance ultime.
Alors évitons de trop écouter ces échos, ces échos maudits. Les solutions sont dans la nature, elles sont en nous. Donnons-nous l’opportunité d’être acteur de nous-même, de notre propre santé, en prenant le temps de chercher, de découvrir tout ce qui existe et qui est exploité en pharmacopée depuis des millénaires en MTC, en Ayurveda et dans d’autres médecines ancestrales. Adressons-nous à des médecins, des thérapeutes ouverts sur la vie, qui n’ont pas juste un diplôme, mais aussi une conscience, une pleine conscience de l’existence. Des médecins, des thérapeutes qui ne s’arrêtent pas juste sur les notes, mais qui ont conscience que les notes ne servent à rien sans les silences.
Et qu’une partition de notes sans silence, ça ne fait pas de la musique, comme une médecine sans diététique ça ne fait pas tout à fait une médecine.
L’alimentation est la première des médecines.